Un agent de guerre chimique, autrefois adopté par l’armée américaine, a été utilisé contre le personnel militaire russe en Ukraine

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Les UKR qui ne sont plus à une saloperie près emploient des armes neurotoxiques sur le front de e Zaporijjia

7 commentaires sur “Un agent de guerre chimique, autrefois adopté par l’armée américaine, a été utilisé contre le personnel militaire russe en Ukraine

    1. Naturellement mais là n’est pas la question. L’emploi d’armes chimiques dans un conflit européen marque quand même une escalade symptomatique dans l’ascension de la violence. Zelinski qui n’est ni un politicien, ni un militaire ne sait pas reconnaitre une défaite. Il est prêt à sacrifier jusqu’au dernier Ukrainien pour complaire à ses maîtres.

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  1. je continue à dire qu’il y aura un après. et que dans le après, les russes seront du bon coté.

    comme l’oms, l’onu, le fmi, la CPI et autre otanesque association devront être détruites et/ou déconsidérées pour faire émerger des alternatives plus neutre. Mais pour les détruire, il faut du carburant. le carburant est en train de se créer, même amnesty international en fera les frais. tous ceux qui ont tenu pour les ukrainiens seront du mauvais coté de la ligne.

    Si poutine balance un truc maichant sur kiev (il est en capacité de le faire) à la fin tout le monde sera renvoyé dos à dos . et là ce sera vraiment des morts pour rien.

    les grands institutions sortent de l’ombre et montrent en pleine lumière qu’elle sont corrompus jusqu’à la moelle. pas certain que dans 2 ans elles continuent à diriger le monde. tout se paie un jour.

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    1. Personne n’a dit qu’il n’y aurait pas d’après et personne n’a dit que Poutine voulait balancer un truc méchant sur Kiev. Néanmoins il a déjà montré en entrant en guerre directe en février qu’il ne pouvait pas résister à certaines provocations. Il ne cesse de le répéter . Quand il parle de ses nouvelles armes, il ne dit pas autre chose que « n’allez pas trop loin » ! »
      Le cas échéant je vous renvoie vers ce que j’ai écrit début février sur l’intérêt qu’il aurait eu alors à laisser pourrir la situation, mais la provocation nucléaire (déjà) l’a poussé à agir, d’autant plus que ses services de renseignements n’ont pas été à la hauteur.
      Il y a encore des provocations qu’il aura du mal à gérer, comme une attaque directe sur la centrale nucléaire et un accident nucléaire, des attaques chimiques, une menace militaire directe de l’OTAN ou encore des attentats répétés sur le territoire russe.

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    2. peut être.

      Maintenant si je devais confier l’avenir de mon pays, à choisir entre macron, trudeau, biden (ou ses marionnettistes), zelensqui, olaf en allemangne ou poutine, je choisis sans aucune hésitation poutine.

      Alors bien entendu qu’il n’est pas parfait mais je trouve que c’est le moins pire. De mon point de vue, cela va être très compliqué pour les dirigeants occidentaux et vachement plus simple pour lui. Parce que je pense que tout se paie un jour.

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