Mythologie : les fières Amazones ont bel et bien existé | National Geographic

Source : Mythologie : les fières Amazones ont bel et bien existé | National Geographic

Les véritables Amazones étaient de redoutables guerrières scythes montées à cheval, armées de lances et vêtues de pantalons. Les archéologues multiplient les découvertes attestant de l’existence de ces femmes guerrières dans l’Antiquité.

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14 commentaires sur “Mythologie : les fières Amazones ont bel et bien existé | National Geographic

  1. L’analyse des ossements par les chercheurs a prouvé la différence entre les hommes et les femmes par le biais de l’ADN. Le monde de nos « femmes » transgenres doit être en émoi! 🙈

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  2. Une chose m’a fait sourire en début d’article :  » elles passaient le plus clair de leur temps en plein air sur les terrains de chasse ou les champs de bataille et jouissaient d’une entière liberté sexuelle. »

    Comment les chercheurs peuvent-ils déterminer une telle chose ? Où sont les preuves ? De toute façon j’imagine aisément que des femmes qui sont les égales des hommes, puissent bénéficier des mêmes droits. Bon, ceci dit, ce n’est pas grave, que ce soit vrai ou pas.

    Les amazones ne sont sans doute pas les seules femmes parmi diverses peuplades, qui étaient tout autant des guerrières que des mères. Défense et protection du clan oblige.

    Un exemple chez les celtes de GB : https://nl.wikipedia.org/wiki/Boudica (Dans la société celtique, les femmes pouvaient posséder des biens, décider de se marier ou de divorcer et même faire la guerre avec leur mari (ou seules). 
    Cartimandua était la reine indépendante des 
    Brigantes lors de la conquête de la Grande-Bretagne 
    . Cartimandua et Boudica sont les seules femmes dirigeantes que nous connaissons.)

    Merci pour cet article, Caro. Ca nous change un peu de l’ambiance qui règne en France et ailleurs ces temps-ci. Même si le sujet demeure un peu le même : la guerre !

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  3. Etrange ; un article comparable, ici :

    https://www.science-et-vie.com/science-et-culture/des-archeologues-ont-decouvert-des-preuves-probables-de-lexistence-des-amazones-en-azerbaidjan-130849.html

    tient tout le discours gauchowokiste sur la nécessité de réviser l’histoire patriarcale épatatiépatata.

    Quant au fantasme de ces guerrières capables de défaire des hommes au combat, il semble aller à l’encontre de certaines données biologiques. J’ai cru lire, voici quelques semaines, qu’un machin se prétendant une femme avait pulvérisé sans effort et presque massacré les championnes femmes qu’il avait affrontées dans des épreuves d’une discipline appelée MMA, je crois, alors qu’il était un mauvais quand il affrontait ses congénères (le phénomène semble répandu). Plusieurs personnes connaissant bien les arts martiaux m’ont dit que les charmantes espionnes qui flanquent des raclées aux hommes dans les films et feuilletons (Nikita, Chuck, et alii) sont le fantasme des scénaristes, et que dans la réalité, ça ne se passerait pas tout à fait comme ça. Dans un épisode du [subtil… au début] feuilleton de propagande J.A.G., on apprenait que les épreuves physiques pour les Marines femmes étaient nettement moins exigeantes que pour les hommes — traitement de faveur nécessaire pour avoir la fausse égalité de propagande en termes de valeur au combat.

    Bref, ces Amazones très idéologiques m’inspirent quelque méfiance. Au reste, pourquoi la rédactrice de l’article n’est-elle qu’une « historienne spécialisée dans la philosophie des sciences » et non une archéologue ?

    Vous avez raison : sauf à être un antiphysique, quitter l’île au plus vite s’impose à tout homme raisonnable ! Better drowned than in bad company.

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    1. « les épreuves physiques pour les Marines femmes » … c’ est très bien décrit dans : L’Amérique assassinée » livre de Philippe Vermont paru en 2005 (!!!) indispensable ! quand on a lu ce livre à parution on savait ce qu’ il allait nous arriver … près de 20 ans après .. saisissant ! il est déjà bien tard ….

      « Il existe bien deux Amérique. Celle des esprits conformistes, qui y trouveront toujours suffisamment de Prix Nobel, d’audace industrielle, d’aventures militaires et de victoires sportives pour douter d’un assassinat dont ils ne voient ni le tueur ni l’agonisant. Et puis, il y a l’autre Amérique. La vraie. Celle qui ne fait plus illusion, reçoit des coups, se débat. Sous une grandeur statufiée, cette Amérique-là offre désormais le visage de la tragédie, l’implacable et sournoise tragédie du globalisme. L’Amérique n’est pas son promoteur mais son commis, pas son bénéficiaire mais sa victime. Depuis longtemps, le globalisme a commencé son travail de sape. Du naufrage de l’éducation au mépris de la famille en passant par le dénigrement du christianisme, la démonétisation du Blanc, l’immigration invasion et la subversion des libertés, des pans entiers de l’édifice américain se lézardent, s’écroulent, disparaissent. Dans une anesthésie quasi générale. Entre pamphlet et essai; ce livre dresse l’état des lieux et pose la question : L’Amérique a-t-elle encore une chance de se sauver ? L’auteur le croit. Mais il est temps que les Américains se ressaisissent. Il y a vingt ans, il aurait suffi d’un sursaut populaire. Maintenant, les blessures sont trop profondes : le salut exige une reconquête. »

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    2. Les Amazones nous sont connues par un mythe grec. Ils louaient leur courage mais le mâle grec l’emportait toujours. Second point vérifié, il existe encore, même si très rares, des sociétés matriarcales pour des raisons variées. Les Grecs ont fait des Amazones une société matriarcale alors que comme l’écrit la rédactrice il s’agissait plus probablement d’une société où la femme disposait de droits proches ou égaux à celui des hommes, dont celui de combattre, en raison du contexte environnemental . En archéologie on découvre des tombes de femmes ou de reines honorées l’égal des hommes même en Europe occidentale.

      Que penseront nos lointains descendants quand ils trouveront dans les plaines du Donbass les restes de femmes dans la vingtaines parées de tous les attributs guerriers et de corps masculins portant des talons hauts dans les cimetières des grandes métropoles ?

      Après que la doxa reprenne les dogmes lgbt+ wok pour habiller la réalité, c’est de mise et ne devrait pas nous étonner. J’ai vu l’autre jour sur un des médias sociaux une image de noirs grimés en Maures, agrémentée d’un petit texte expliquant que c’étaient des Maures et que les Maures donc les Noirs avaient conquis l’Espagne (mais semble-t-il pas le Maroc ). Sous entendu mais dans le non-dit, que le retour des Noirs en Europe n’était qu’un juste retour des choses.

      Parfait, ça aurait pu être vrai sauf que les « Maures » n’étaient pas de peau noire, surtout à l’époque. Depuis la consommation sexuelle des esclaves noires a un peu bouleversé la génétique de l’Afrique du nord de même que la conversion des subsahariens et des esclaves à l’islam les a rendus plus fréquentables . Aujourd’hui il est évident que les Mauritaniens hommes et femmes sont des sang-mêlés et que le tissu bleu des Touareg a déteint sur la peau blanche des Berbères bédouins au point de les rendre aussi noirs que les populations qu’ils razziaient.

      Bref les peuples noirs sont à la recherche désespérée d’une identité et d’un récit mythique propre à leur donner une grandeur de peuple d’autant plus difficile à acquérir que leurs empires construisant plutôt avec du torchis que du calcaire ou du granite ont laissé très peu de traces. Donc ils font un transfert sur les Pyramides de l’Egypte à comparer avec les pitoyables monuments du nord Soudan sur lesquels il est de bon ton de s’extasier, ou sur les quelques pharaons possédant des caractéristiques faciales que l’on peut retrouver chez les Somaliens ou les Ethiopiens aujourd’hui. Sans doute que les Soudanais d’alors n’étaient pas des Bantous archétype du Noir contemporain.

      Fin de l’aparté et retour aux Amazones. La découverte d’une telle tombe, de même que celles d’hommes et de femmes blancs dans le Sin-Kiang, plus ou moins dissimulés par les Chinois modernes, sont forcément interprétées à la sauce de l’époque.

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      1. @Paul-Emic : Comme tous les savants, les archéologues peuvent abuser ou être abusés, ou raconter n’importe quoi de bonne foi. Quant aux textes… En choisissant bien, je vous fais un tableau sinistre de la condition féminine à Rome, ou un tableau moderne, ou un tableau intermédiaire. Pareil pour les Etrusques, pareil pour les vieux peuples angliches… C’est pourquoi jusqu’à plus ample informé, on peut prendre toutes ces déclarations à prétention sensationnelle avec un certain scepticisme, comme autant de récits. L’archéologie « officielle » révisionniste féministe, c’est une invention récente.

        Je garde en mémoire cette anecdote amusante, chez Ceram, du facétieux qui plaçait près de tombes égyptiennes des artefacts authentiques venus des Indes afin de berner les archéologues du futur qui inventeraient alors des voies commerciales entre l’Egypte et l’Inde. L’histoire de l’archéologie est comme celle de toutes les sciences : une série de canulars, de mensonges, d’erreurs et parfois, de vérités. Même avec des textes, s’agit d’être prudent — voir les datations, toujours farcesques, des dynasties égyptiennes.

        Avec raison, Bergier se gaussait des prétentions de Carsac, archéologue de métier, à restituer une civilisation tout entière à partir des traces hypothétiques de trois pieux dans le sol et de quelques ossements, poteries et reliefs de repas datant de plusieurs milliers d’années.

        Y’a encore des gens pour croire aux nouilleries de Bernal et sa *Black Athena* ; quant aux ceusses qui pensent que le Wakanda a existé, ils sont certainement aussi nombreux que ceux qui veulent voir le soleil tourner autour de la terre (environ 20% des Ricains, si mes souvenirs sont bons).

        Même les historiens de l’Antiquité ne sont pas toujours à suivre aveuglément — voir, parmi force exemples qui amusent les Jerphagnon et assimilés, les délires de Pline et même certaines sottises occasionnellement rapportées, parfois sans trop de précautions, par un Aristote pourtant génial, pour ne prendre que des noms connus. Dans le même registre, la bibliothèque hébraïque n’est pas non plus un livre historique mais un ensemble de récits à véracité très variable.

        La récente apparition de nouvelles figures de Xena et de Wonder Woman, c’est bon pour les scénaristes de péplums fantastiques. Ce qui ne veut pas dire que tout est faux ou impossible, évidemment. Quand le récit « scientifique » est accompagné de considérations idéologiques, méfiance !

        Dans *La dernière légion*, la délicieuse Aishwarya Rai joue le rôle d’une super guerrière venue des Indes ; on peut avancer que c’est une invention romanesque. 😉

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        1. De bonne foi, ou de mauvaise foi… Pour l’argent, peut-être ?

          Il m’est arrivé de regarder des reportages sur les civilisations anciennes, et de penser que les chercheurs vont vite, parfois, à nous dire ce qu’il s’est passé autrefois.

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  4. Heureux temps des barbares viking et sa mythique combattante Lagherta ! au moins les cassages de trognes aussi violents soient-ils , et les tueries épouvantables , n’ atteignaient pas les bombardements de Dresde ou Hiroshima . A chacun ses moyens … et puis il était bon de boire dans les crânes de l’ ennemi ! et puis en ces temps on aurait pu voir un traître à la Macron subir en suprême châtiment : l’ aigle de sang … 😉

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